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One Dying Wish
29 octobre 2008

the way of all flesh


Découvrez Gojira!



Je n'peux m'empêcher d'écrire ce post, ça fait tellement longtemps que j'attends cette baffe là et tellement longtemps que je n'ai pas chroniqué un disque qu'il fallait absolument que je célèbre ça...

Pour les incultes, "The Way of All Flesh" n'est pas seulement une chanson de Malevolent Creation, un livre de Samuel Butler, une nouvelle de Perley Poore Sheenan ou encore un film de Victor Fleming (inspiré du livre BTW). C'est surtout le nouvel et 4éme album studio du groupe de ("death") métal Français Gojira emmené par les deux frères Duplantier (Joseph à la guitare et son cadet: Mario à la batterie), sorti internationalement le 13 octobre 2008 et aux Etats Unis le 14.

En effet Gojira revient bel et bien. Plus intelligents, subtil et puissant que jamais... Pour les très incultes, Gojira est un groupe de death metal francais basé à bayonne. Les étiqueter "death" serait trop facile et réducteur mais life is life, les gens se sentent rassurés dès qu'il y a une once de format ou de carcan alors soit Gojira fait du death. Mais cela dit, un death très nuancé, très métissé et très "réfléchi" dans le bon sens du terme. Quand je dis réfléchi j'entend par là mature et intelligent. C'est sans doute le groupe de métal, voir tout style confondu, le plus subtil que je connaisse. L'alchimie est parfaite, le son est propre au combo, un sens de la mélodie ultra poussé, une puissance de feu jusqu'içi inégalée dans l'hexagone (et j'oserai même aller jusqu'à dire "partout en Europe"), inventivité et créativité poussées à l'extrême, une capacité à se remettre en question constament et à dépasser ses propres limites unique en son genre. Ajoutez à ça un groove naturel allucinant et une conception quasi religieuse de la technique musical et vous avez la recette Gojira. Pour ceux qui ne connaissent pas et qui aiment le style, la première réaction serait de dire un truc du style "mais... C'est Ricain?!". Et non mec c'est Français, c'est fou hein?

Bref, la bande à joe est de retour quasiment trois ans après la sortie de "From Mars to Sirius" le précédent opus qui les avait révélé internationalement. Marquant une révolution dans le monde de la musique Française en ce sens que grâce à ce disque, le poid lourd Américain a découvert le groupe. Effectivement, c'est le premier groupe Francais de ce style à tourner autant et marcher aussi fort outre Atlantique. Les Ricains l'ont pris en pleine face et en redemandent. Comme s'ils se réveillaient d'un long sommeil autarcique. Ils ont enfin réalisé que la musique tout comme "la vérité" peut venir d'ailleurs, qu'il y a de grands artistes partout dans le monde et pas seulement au pays de notre très cher Ronald...
"From Mars to Sirius" avait largement enfoncé le clou sur le vieux continent, les propulsant du stade d'espoire de la scène francaise à pilier Européen de la musique alternative dite extrême. La barre était déjà haut placée et le public plus que présent. Comme une concécration pour un groupe qui a mangé des pattes et trimé pendant 10 ans. Faisant par la même un pied de nez à nos chères institutions/administrations Française telle que l'ANPE (dont on oubliera surement jamais de profondes citations comme "ah vous êtes musiciens? Oui, vous fumez des joints toute la journée sur votre canapé"...) et autre grosse majors "usines" plus interessées par le commerce que la passion.

A vrai dire la barre était tellement haute qu'après ça, personnellement, j'imaginais mal comment ils pourraient faire mieux et pourtant c'est chose faite...

Cela tien très certainement du nouveau processus de composition opté par le groupe pour conçevoir ce nouveau disque... Contrairement à l'aciènne méthode, plus conventionnelle, où toute la formation prenait le temps pour bien faire tous ensemble, là ce sont les deux frères Duplantier qui ont tout composé quasi seuls. Dans un souci de rapidité et de cohérence le deuxième guitariste et le bassiste ont su s'effacer ou du moins se mettre en retrait pour laisser leur deux accolites accoucher du nouveau bébé. Bien entendu le disque ne vient pas uniquement des deux seuls. Le gros du disque a été composé en peu de temps à deux mais les autres membres ont bien évidement participé au processus créatif en incorporant ça et là des idées, des nuances, des riffs.

Gojira aime l'Amérique et l'Amérique le lui rend bien. ce nouveau "The Way of All Flesh" bien qu'enregistré à la maison dans leur home studio installé dans la maison familiale, a été mixé aux Etats Unis par Logan Mader (ex-Machine Head, ex-Soulfly, ex-Medication) guitariste et ingé' son dans son propre studio. Joe ayant jouer la basse sur le disque de Cavalera Conspiracy (nouvelle formation tribalcore réunissant pour la première fois depuis plus de 10 ans les deux frères Igor et Max Cavalera) il a pu faire la connaissance de Logan pendant ses session d'enregistrement. De là est née leur collaboration. Avant d'être un grand professionnel c'est aussi un passionné et c'est ça qui l'a rapproché du groupe. Se souciant plus de la façon dont allé sonner le disque plus que de son chèque... Et pour la petite histoire, en quelques jours à peine le groupe avait déjà vendu 4200 copies de son Way of All The Flesh à travers les Etats unis. Vu la taille du pays et le développement du marché du disque là bas, 4200 ça parait peu mais tout est relatif. Pour un groupe vendre 4200 cds aux Etats Unis, ça tient du rêve.

Ce disque est surprenant, déroutant même. Après avoir jeté un coup d'oeil sur l'artwork réalisé par Joe lui même, comme pour les précédents excepté le premier ("Terra Incogniata") réalisé par leur soeur ainée (Grabielle Duplantier >> son site est en lien sur le blog), je m'empresse d'écouter ce nouvel album. L'album démarre sur Oroborus, et là, tout de suite, ça pose le cadre. Techniquement on a passé un cap (oui, oui encore un!). On est tout de suite surpris par le plan de guitare très mélodieux et rapide. Ca ne ressemble pas à Gojira mais pourtant c'est Gojira, sans aucun doute. A ce moment précis je ne m'attendais pas à dire ça tout le long du disque... Le groupe a grandi, leur technique a évoluée et leur sensibilité s'est affinée. On sent vraiment que les 4 musiciens on pris en maturité. L'expérience Américaine s'avère très positive sur leur façon de concevoir la musique et de la partager. Bien qu'évolutive la chanson ne s'écarte pas trop des sentiers battus et reste dans une bribe de carcan couplet/refrain comme pour ne pas trop déstabiliser l'auditeur, pour nous préparer gentilment à ce qui va suivre. Le ras de marée ne fait que commencer et pourtant c'est déjà très gros.

Le titre de la deuxième piste m'a fait sourire. "Toxic Garbage Island" ("l'île des poubelles toxiques" traduit litterallement). En plus de me faire sourire ce titre m'a presque rassuré en ce sens que Gojira est et restera toujours Gojira: un groupe de métal impliqué écologiquement faisant volé en éclat le gros cliché du "métaleux = bêtes, sales et méchants mais néo hippies = gentils et écolos sauveurs de la planète). Et bien non mesdames et messieurs ont peut faire de la musique extrême et aussi se soucier de Dame nature. Plus qu'une envie, c'est un besoin pour eux, une sorte de leitmotive pour le groupe. Prendre conscience de nous même en tant qu'êtres vivants, qu'Hommes mais aussi des éléments qui nous entourent donc la nature et en prendre soin.

La chanson part tout de suite: riff à la précision chirurgicale, son tranchant comme un scalpel, session rythmique qui donne l'effet d'un roulau compresseur, on reconnait bien là le groupe. Mais tout ça n'est pas "gratuit", ce n'est pas du bruit. Tout ça est tout à fait penser, réfléchi, maîtrisé et on redemande. Joe scande ses lyrics, soutenu par ses camarades. Le morceaux est intense dans les deux sens: ils vivent leur musique à 200 % et nous on se prend des upercuts sans rien comprendre... La logique rythmique de cette chanson comme sur quelques autres est différente e ce à quoi ils avaient pu nous habituer par le passer. Ca va beaucoup plus loin. Je suis déjà K.O alors que nous ne sommes qu'à la deuxième baffe...

"A sight to Behold", la troisième piste reste pour moi un ovni, certainement le morceaux le plus "perturbant" de l'album surtout à la première écoute. La voix rentre tout de suite avec un effet très particulier, du jamais vu chez Gojira (et très rarement sur du métal). L'instru' est en accord totale avec la voix, tout aussi déroutante. A première vue seule la batterie sonne de façon organique, dépourvu d'effets. La texture du son, très particulière, nous place dans un univers tout à fait différent, quelque chose de novateur, frais comme une bouffé d'oxygène. Le groupe se réinvente constamment et ce titre en est, une fois de plus, la preuve. Ce qui me frappe sur cette chanson comme sur l'intégralité de la discographie du groupe c'est la conception de la batterie de Mario. Il a une approche de la rythmique, en mon sens, plus proche de celle d'un percussionniste que celle d'un batteur de métal alors que pourtant s'en est un, sans aucun doute. Ca façon de concevoir ses breaks, de placer ses descentes, les accents sur les cymbales ou sur les caisses claires, c'est très subtil, très fin (ça se mange sans fin ^^), très frais. Il ne fait pas que marteler des fûts. En plus d'être un métronome vivant il a une réelle capacité à transformer une batterie en un instrument mélodique et plus seulement rythmique...

Suit "Yama's messenger", un titre qui se révèle être plus commun. Je veux dire par là plus propre à ce que nous connaissons déjà du groupe. On démarre sur un plan mid tempo assez nuancé mais qui redonne plus de lourdeur à l'album. Après "A Sight to Behold" se titre tombe à pique. On revient à quelque chose de plus cru, qui a tout de suite plus d'ampleur. le tempo s'accélére sur le second plan (and here we go again). C'est un peu comme sur un grand huit, on vient de peiner à monter pour redescendre 10 fois plus vite, on s'y attendais sans réellement s'y attendre mais on y est... Go! sur cette chanson on s'écarte complètement du format couplet/refrain pour laisser la musique évoluer d'elle même. Il n'y a qu'un seul gros plan qui évolue tout le long du morceau de façon très cohérente et naturelle. Dès que le rythme s'intensifie, tout s'intensifie. Le riff est "brise nuque" (cette album laisse vraiment des séquelles physiques...). Le son est si imposant que l'on a du mal à savoir tout de suite ce qui prime, la compo' en elle-même ou le mixe... Après quelques écoutes je dirai que les deux, particulièrement sur ce disque, on autant d'importance. Il y a chez eux une vraie complémentaritée. Le son est très propre sans être acéptisé pour autant. Tout est à sa place, exactement comme il doit l'être...

"Yama's" s'arrête net pour laisser place à "The Silver Cord", le premier réel moment de reppi. On respire un coup pour mieux repartir derrière. L'atmosphère qui s'en dégage rappelle la couleur de "From Mars to Sirius" comme un "merci pour tout" que le groupe se lancerait à lui-même et à son précédent disque. 2 minutes et demi de son claire, de calme, de recherche mélodique. C'est doux tout en étant froid et profond, un peu comme un bleu nuit. Quand j'entends cette chanson j'ai l'impression d'être un soir d'été à mater les étoiles en montagne allongé dans l'herbe. C'est reposant et plaisant.

Et comme prévu on repart de plus belle. "All The Tears" nous sort de notre bulle comme pour prendre conscience de l'impact que la musique du groupe peut avoir sur nous. Ca envoie directement, la section rythmique très en avant, sachant laisser leurs places aux 6 cordes, martèle histoire de bien enfoncer le clou. Les baleines sont toujours présentes, toujours avec ce son si particulier propre à Gojira. Une fois de plus on est face à une vision très évolutive, très progressive de la musique. Pas de shéma prédécoupé, juste un enchainement logique de notes. Le morceaux est intense, ça vous prend au bide tout de suite pour ne plus vous lâcher.

La voix de Joe prend une inspiration pour mieux enchainer sur "Adoration for None", pour mieux nous scander ses textes. La violence sonore du groupe monte encore d'un cran avec cette chanson mais ce n'est pas tout. La recherche est encore présente notamment avec le final qui n'est pas sans rappeler celui de "Remembrance" sur l'album "The Link" à cette nuances prés que les deux guitares jouent deux plans différents, complémentaires mais différents. Tout s'accorde à la perfection.

Après une "outro" très épique, nous partout vers des sonorité tribalisantes, presque amasoniènnes, avec l'intro de "The Art of Dying". Titre qui est, pour moi, LE "tube" de l'album. L'atmosphère qui se dégage de l'intro nous parait tout de suite familière car proche de certains anciens morceaux du groupe (on se rappellera notamment de l'intro du dvd "The Link Alive"). Après ce court instant de reppi nous voilà reparti dans l'univers lourd et complexe du "grand" Gojira. La rythmique est, une fois de plus, loin des conventions et du "déjà vu". On sent une petite influence des Suédois de Meshuggah (particulièrement sur le placement des caisses claires) mais ce qui frappe justement c'est qu'on a l'impression qu'ils vont encore plus loin que meshuggah dans la manière d'aborder la rythmique. Quelque chose d'unique, quasi irrepoduisible, à peine humain. Le groupe signe içi un des morceaux les plus violents de l'album (si ce n'est LE plus violent) mais aussi un des plus "fin" notamment au niveau des breaks/transitions. Pour le moment rien de très, très spéciale jusqu'à ce qu'arrive une accalmie dans ce chaos sonore. On croit le morceau terminé, on est dessus, on reste sur notre faim, il manque quelque chose c'est évident. Jusqu'à ce que rentre la deuxième partie du morceaux qui servira aussi de final. Basée sur la monté et l'évolution d'un seul et unique plan. Le maître mot est simple: "GROOVE". L'art et la manière de donner envie de bouger la tête en rythme à n'importe qui. Le son de guitare s'avère être inédit chez Gojira, tout comme la mélodie en elle même. Du jamais vu mais pourtant dès la première note on sait que c'est gojira et que ça ne peut être personne d'autre. Le morceau se termine sur ce passage là, en fade out (vous savez quand le volume du son baisse progressivement...). Ca doit être le fade out le plus frustrant de ma vie by the way. Ce plan est tellement "gros" et "bon" qu'on l'écouterait en boucle pendant des jours et des jours...

Suit une petite séquence qui sert d'interlude, callée sur la même piste que "The Art of Dying".

"Esoteric Surgery" arrive tout de suite derrière de façon assez brutale donc imprévisible. Chanson très épique construite de façon évolutive  et nuancée. On retrouve quelques petites touches très "ancien Gojira" ça et là qui n'est pas fait pour nous déplaire. Des accélérations et décélérations dans tous les sens comme pour nous perdre. Cette chanson donne vraiment l'impression que le groupe fait tout pour sortir des sentiers battus, pour être là où on ne l'attend pas sens pour autant le calculer complétement et sans perdre l'auditeur en route. Démarche qu'on retrouve tout le long de l'album, voir même de la discographie mais içi poussé à son paroxismme.

Et "BOOM" le single: Vacuity. Titre qu'on connait déjà depuis quelques temps puisque jouait live depuis quelques mois et mis en ligne sur leur page myspace peu de temps avant la sortie du disque. Premier clip extrait du nouvel album aussi au passage. Du nouveau Gojira, encore une fois (et certainement pas la dernière!). Frappez moi si vous le voulez mais pour moi, sur cette chanson, il y a un côté grunge. Pas dans la texture du son et encore moins dans la mélodie mais simplement dans l'approche rythmique. Cette façon d'aller chercher les notes au fond du temps, particulièrement au niveau de la batterie (à la manière d'un vieux Silverchair par exemple). Tout ça donne une lourdeur naturelle affolante. Chaque coup devient un boulet de cannon et ça fait mal! La voix, tout comme la musique, est plus loude et froide que jamais. Une chose que j'ai vraiment réalisé sur ce titre et cette album, c'est l'importance des lyrics dans n'importe quel style. L'impact que ça peut avoir et la puissance que ça apporte. Içi le message est aussi important que la musique en elle même. Un deuxime plan rentre peu avant la moitié du morceau: LE plan grindcore par exellence. C'est extrême, intense et violent. Ca va vite et on ne peut rien faire pour le contrer. C'est tellement fort et ça nous assome tellement qu'en fait ça nous hypnotise... Ce Titre peut paraître simpliste pour beaucoup de gens d'après ce que j'ai déjà entendu mais pourtant c'est, sans aucun doute, un des plus complexes de l'album...

Et voilà "Wolf Down to The Earth". Du gojira dans toute sa splandeur, du Gojira qui nous est familier. Tellement familier qu'on croirait presque que c'est une chute de l'album précédent. La guitare démarre toute seul, très rapide, annoncant la guerre. Rappelant aussi fortement de vieux morceaux du groupe (que ce soit sur "The Link" ou "From Mars to Sirius"). On retrouve petit à petit tout les éléments du succès de Gojira: les changements de tempo imprévisibles et improbables qui ne sont cohérent que si c'est ce groupe là qui les jouent. Les "breaks" guitare au son extraterrestre et au placement tout aussi infernal, l'approche encore une fois très évolutive de leur compo, tout est là dedans jusqu'au dernier petit break de batterie qui signale ca fin sur le dernier temps...

Et nous finissons sur "The Way of All Flesh", titre phare de l'album puisqu'éponyme. Place étrange pour le titre phare d'un album que la fermeture me direz-vous. Et pourtant non pas dans son cas vue sa signification. Sur cet album et ce titre, joe parle plus ou moins de son rapport à la mort et particulièrement à sa propre mort. La mort etant la fin d'un cycle, comme une manière de boucler une boucle, c'est tout à fait logique et cohérent que de voir ce morceau fermer le disque, conclure cette période, de la plus parfaite des façons.

La batterie débute la chanson toute seule dans une avalanche de coups. Puis tous les instrus arrivent pour mieux nous finir. La voix rentre peu de temps après. Tout est en adéquation, tout est cohérent. Ca va toujours très vite malgrès les changement de tempo et autres breaks. L'aspect général du truc s'intensifie petit à petit, laissant ça et là quelques instants de repos comme les dernières minutes d'agonie avant l'éxécution. La voix, comme très souvent, sait se mettre en retrait quand il le faut. Pour laisser la musique s'exprimer d'elle-même. La couleur de cette chanson est, encore une fois, très froide et hypnotisante. Sur les plans plus nuancés où les pistes de voix sont très en avant, la musique à beau être douce, la mort se rapproche de nous. tout est basé sur la monté en puissance. C'est lancinant, prenant, inquiétant jusqu'à la toute fin très profonde comme salvatrice. On a tout de suite envi de leur dire "merci les gars, vraiment merci pour tout et à très bientôt".

Voilà tout ce que je peux dire de ce nouveau disque. je sais c'etait long, rébarbatif à lire (pour ceux qui sont allés jusqu'au bout) et mal écri... J'espère que vous prendrez autant de plaisir que moi en découvrant et creusant dans cet album. Pour les interessés, sachez que le groupe est en tourné à travers le monde depuis le moi d'octobre (en ce moment en compagnie des Suédois d'INFLAMES) et moi, personnellement, je songe à aller les voir en Fevrier à Monaco (Pas encore d'info sur le concert: ni affiche, ni places, juste la confirmation de la date). De ce que j'en sais, le groupe à beau être énorme sur cd, il est monstrueux en live. Leur musique prend tout son sens et donc toute son ampleur sur scène.   

Gojira___The_Way_of_All_Flesh___2008

Tracklist :
1/ Oroborus
2/ Toxic Garbage Island
3/ A Sight To Behold
4/ Yama's Messenger
5/ The Silver Cord
5/ All The Tears
7/ Adoration For None
8/ The Art Of Dying
9/ Esoteric Surgery
10/ Vacuity
11/ Wolf Down The Earth
12/ The Way Of All Flesh

Voila le lien pour écouter l'album entier sur Deezer: http://www.deezer.com/#music/result/all/gojira%20the%20way%20of%20all%20flesh

Le clip de Vacuity:

pour les interessés, Gojira en live et en image c'est ça: http://www.blodpudding.com/Bilder/Hove_07/gojira_bf001.html (très, très belles photos d'ailleurs...)

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Commentaires
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Bah écoute mieux vaut tard que jamais comme on dit :). Moi-même niveau actu sur ODW parfois j'ai du mal. Même sans parler de ma rigueur à poster, rien que pour mettre à jour les commentaires c'est pas trop ça...<br /> <br /> C'est vrai qu'elle est un peu longue et répétitive mais bon, il est vrai qu'au sujet de gojira pour être concis c'est pas forcement évident.
M
je n'avais point vu ton commentaire (posté en novembre, genre le mec tjs à la page sur son propre blog). mais c'est chose faite j'viens ratraper le temps perdu. sympa cette chronique, quoi qu'un peu longue, mais ne pourrait on pas être intarissable sur Gojira?<br /> il faut ke je pense à passer par ici de tps à autre :)
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